Fidel, Benoît, émois, émois, émois!
Le dirigeant communiste Castro « regrette » ce qu’il appelle « une grande injustice, une grande injustice ». (Cf. cet article parmi d’autres.) Cela ressemble à ce qu’on appelait une autocritique, qui se faisait devant le Tribunal de ses Camarades et les Journalistes. Que demandait le Peuple?
Allez Joseph, encore un effort…! Toi, tu demanderas pardon devant… des frères et soeurs en humanité, les médias ET Dieu. C’est alors que, ô miracle céleste, les poules auront des dents.
Fidèle ok Benoit ok étoi étoi étoi?