Développement et démocratie. — Shared for free via +Do Share
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L’ange blessé. En guise de message pascal, le président du Conseil de la Fédération des Eglises protestantes…
En guise de message pascal, le président du Conseil de la Fédération des Eglises protestantes de Suisse a interprété sur une vidéo cette oeuvre surprenante et touchante du peintre finlandais Hugo Simberg:
https://vimeo.com/123064246#embed
Avis de service
Petits changements pour les abonnés et les visiteurs de la page web Je poursuis ma quête narcissisto-borgesienne de faire d’Un Swissroll un site qui agrège puis (re)distribue la totalité de la production numérique des auteurs, quel que soit son lieu de publication original… Cela passe déjà par deux outils principaux: la publication sur ce site …
Où étaient les femmes ?L’Eglise naissante a assez vite fait l’impasse sur le rôle des femmes autour…
L’Eglise naissante a assez vite fait l’impasse sur le rôle des femmes autour de Jésus, qui les traitait à égalité et se laissait approcher avec une liberté qui embarrassait ou scandalisait. Le fait qu’elles aient été les premiers témoins de la résurrection est aussi une manière de valider cette intimité.
Ce tableau repéré par le professeur Olivier Bauer peut prêter à sourire du contraste salutaire entre la bondieuserie et le terre à terre. Il peut aussi susciter l’embarras en évoquant l’oubli et l’occultation de la moitié de l’humanité dans les meilleurs moments de piété.
Heureusement, celui que ses disciples retrouveront relevé après une mise à l’écart qu’on croyait définitive n’est pas étranger à cette scène dont il est SOLIDAIRE. Non parce qu’il a a été protagoniste du repas qui a précédé mais parce qu’il a dit qu’il était venu pour servir et non être servi (voir aussi l’histoire des pieds lavés).
Le web, écrin de l’écrit. Après Matter (qui a tourné paillettes, hélas) je découvre, et cette fois …
Après Matter (qui a tourné paillettes, hélas) je découvre, et cette fois en français (beaucoup de traductions, ce qui n'est pas plus mal), ce site récent consacré à la publication de longs reportages: s'y immerger sur la tablette ou le téléphone est un plaisir.
(Via sept.info – autre aventure éditoriale, suisse, espérant cumuler web et papier, textes et photos – où j'ai découvert "Les fantômes d'Ordos", ruine contemporaine hallucinante en Mongolie Intérieure.)
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Hymne national suisse: une modeste proposition.La compétition en cours en Suisse actuellement me laisse…
La compétition en cours en Suisse actuellement me laisse froid (goo.gl/Pb418q). La seule chose qui m’échauffe est le temps, l’énergie et l’argent (500’000 CHF!) gaspillé par la Société suisse d’utilité publique dans cette affaire.
Cette organisation de bienfaisance purement privée (j’aimerais toutefois être sûr qu’elle ne touche pas de subventions publiques) ne trouve apparemment rien de plus utile à faire. Ou alors elle sombre comme tant d’autres dans le marketing nombriliste: pour une fois on parle d’elle et de son président, un ancien haut fonctionnaire fédéral, compétent, dévoué, plein de bonnes intentions… mais c’est tout.
Ma proposition: conserver la musique de l’hymne actuel, qui a au moins l’avantage d’être déjà connue d’une grande partie des Suisses. S’ils savent les paroles (normalement apprises sans problème à l’école primaire ou en colonie de vacances), et se retrouvent passé la puberté dans une de ces rares situations où ils vont se laisser aller à le reprendre en choeur, chacun chante dans sa langue le seul premier couplet.
Et c’est là où je vois une amélioration possible pour un hymne national véritablement intégrateur: faire porter le concours uniquement sur les paroles, et suivre l’exemple de l’hymne sud-africain (en xhosa, zulu, sesotho, afrikaan et anglais) en demandant aux auteurs de proposer un hymne pour tous et non quatre: en allemand et en français et en italien et en romanche.
Pardon à la journaliste de La Croix qui m’a appelé (!) et à qui j’ai refusé de répondre puisque je n’avais rien à dire… Et merci de m’avoir amené à y réfléchir!
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Oui, il est possible d’agir.- Parodier, tourner en dérision les "explications" complotistes- Privilégier…
New Swiss national anthem?My friend +Elaine Housby _has a special interest in the modernisation of…
My friend +Elaine Housby has a special interest in the modernisation of national anthems; she already asked me about the competition going on in Switzerland. So today, when the six candidates were released, I forwarded the link to her. Here is the assessment of a genuinely independent non-Swiss observer:
A – sounds like a particularly dreary church hymn. Definitely not.
B – ditto, plus it has those clunking forced rhymes you associate with a bad national anthem.
C – Hmm, does sound sort of singable, but still boring.
D – Actually quite like this. More upbeat.
E – Quite catchy. Can easily imagine a crowd standing up and singing this at the Olympics.
F – This is a rip-off of the US ‘My Country Tis of Thee’.
So I listened to my favourites D and E again, and then I listened to them both in German, and then I read the lyrics in both French and German. I realised that D mentions God, which a bunch of Swiss atheists are bound to complain about. Not clear if the ‘toi’ in E is supposed to be God as well, but at least it doesn’t actually say so. I really like the line about ‘un reve puissant comme nos montagnes’. So my vote, if I had one, would definitely be for E. I don’t think any of them are very inspired – I notice all of them have more dislikes than likes on Youtube – but I suppose that having to write lyrics that scan in four languages makes it difficult to be very original.
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"Tout se joue dans les premières années."C’était déjà le cheval de bataille de JJSS en 1970. Et c’est…
C’était déjà le cheval de bataille de JJSS en 1970. Et c’est aussi l’une des réussites du gouvernement de Tony Blair avec le programme Sure Start.