Pluralisme du journal Coopération
Une fois de plus, le rédacteur-en-chef de Coopération émet des propos tellement improbables, à partir de la mort d’Al-Zarqaoui:
(…) Ne croyons guère ces quelques «experts internationaux» qui, en professionnels de l’antiaméricanisme tout-terrain, aussitôt la bonne nouvelle connue, se sont empressés d’en minimiser la portée et le caractère heureux. (…) Que certains journalistes et commentateurs, ici et ailleurs, mettent tant d’application à qualifier les tueurs du calibre d’Al-Zarqaoui, qui assassinent allègrement des civils irakiens, femmes et enfants compris, de «résistants», ne doit pas nous troubler (…) Il est très important, en revanche, pour tout le monde, que ce pays trouve, bientôt, une stabilité que lui dénie, pour l’instant, un Iran imprévisible et dangereux, et que lui refuse, à tout prix, un al-Qaida dont c’est folie de croire qu’il défend la veuve et l’orphelin.
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Le journal étant pluraliste, l’un de ses chroniqueurs relaie ici (sans le reprendre forcément à son compte) un discours pacifiste plus classique évoquant la radicalisation… des Etats-Unis, l’humiliation des autres tandis qu’un de ses invités évoque ici la responsabilité de l’Occident.