En transports publics ou à vélo?
We are not afraid, cela consiste à refuser la terreur, à vivre de plus belle et à continuer d’utiliser le métro et les bus. Mais si les évéments de jeudi dernier conduisent certains à redécouvrir le vélo comme moyen privilégié du déplacement urbain, ça ne peut pas être entièrement une mauvaise chose… Une tribune de saison également dans Le Monde d’aujourd’hui.
Au demeurant, l' »esprit du Blitz » n’est pas un monopole britannique, ou s’assimile rapidement par la géographie et le climat (Montesquieu, si mes souvenirs sont bons), comme en témoigne cette mère française vivant à Londres, confrontée à la peur de son fils de 8 ans…