«Merci pour ce moment» (VT) n’est pas «Histoire d’une femme libre» (Françoise Giroud).
«Merci pour ce moment» (VT) n’est pas «Histoire d’une femme libre» (Françoise Giroud).
La comparaison qu’il faudrait faire, c’est avec le livre écrit par Françoise Giroud en 1960 après avoir été répudiée par JJSS. Mais justement, FG s’était laissée convaincre que, si ce livre avait une portée thérapeutique, sa publication à chaud n’était pas opportune (il a été publié 53 ans plus tard, avec l’accord de la fille de FG, par Alix de Saint-André, accompagné de l’excellent Garde tes larmes pour plus tard) http://goo.gl/e29Cqo…
Une autre différence essentielle qui me vient à l’esprit est que le livre de Giroud respire l’amour qu’elle avait toujours, même en toute lucidité, pour Jean-Jacques Servan-Schreiber, alors que Trierweiler semble s’être finalement rendue compte qu’elle s’était trompée pendant 9 ans sur l’homme dont elle a été la compagne!
Et bien sûr ce n’est qu’une intuition de Sabine, l’admirable femme que JJ a préféré à Françoise – qui pour sa part fut contrainte à l’avortement pour permettre la naissance de L’Express – car elle pouvait être la mère de ses enfants, qui a empêché un suicide méticuleusement préparé sans lequel nous n’aurions pas eu ce livre d’auto-analyse et surtout tout ce que Giroud a encore fait et vécu.