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Si celui de mon précédent post ne casse certes pas des briques, je trouve ce symbole enrageant de naïveté fleur bleue et en fin de compte défaitiste, témoignant du sens politique d’une autruche qui met la tête dans le sable.
Au moment ou Helmut Schmidt vient de mourir, je voudrais rappeler que c’est à lui qu’on doit la subtile stratégie de l’Otan face à la menace des missiles nucléaires SS 20 pointés par l’URSS sur l’Europe occidentale: demander leur retrait, et à défaut installer des missiles équivalents à l’Ouest. Eh bien c’est contre ces derniers que le pacifisme manifestait. Selon la formule mordante de François Mitterrand, « Les manifestants sont à l’Ouest, mais les SS 20 sont à l’Est. »
C’est en définitive ce type de fermeté qui a mis fin au totalitarisme communiste en Europe, comme il détruira le totalitarisme islamique en en libérant aussi les musulmans. Mais seulement si nous savons résister aux sirènes du pacifisme pour le plus grand bien de la paix.
A l'étranger plus encore qu'en Grande-Bretagne, il est courant d'ignorer ce que les gouvernements Blair et Brown ont apporté, de les réduire à une caricature (les focus groups) voire de croire, parfois même sincèrement, qu'ils ont mené une politique néolibérale, de droite. En 12 pages – PDF: http://goo.gl/i4va0h – et 7 articles, le magazine du courant moderne du Labour Party dresse un bilan, pas même exempt d'autocritique.
Federico de Montefeltro is a fascinating Italian character, 15th Century half ruthless mercenary, half Renaissance man. His ducal palace in Urbino is a wonder of the world, with its Studiolo. The Gubbio one is in the Metropolitan Museum of New York city.
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