Cécilia parle
C’est une grande interview dans la Tribune de Genève, et ce n’est pas inintéressant.
Mais le passage le plus précis et le plus significatif, je trouve, est le suivant:
Genève… Bon… comment vous dire… Allez, ce qui doit être dit doit être dit. Mon mari [Richard Attias] avait ses bureaux à Genève. Il organisait le Forum de Davos depuis 13 ans pour Klaus Schwab. Le jour de notre mariage, ce dernier nous a fait un beau cadeau en nous annonçant qu’il se passerait désormais de Richard pour ne pas se mettre mal avec le gouvernement français. Depuis, j’ai appris que le président français [Nicolas Sarkozy] se rendrait probablement au prochain Davos alors qu’il ne s’y était jamais rendu auparavant. Mon mari a beaucoup été déçu par tout ce qui s’est passé. (ndlr: Richard Attias a quitté la présidence de PublicisLive, une filiale du groupe Publicis spécialisée dans l’organisation d’événements internationaux).
Elle est pas précoce elle!
Bah, si Richard a été déçu, c’est qu’il n’était guère lucide. Que Nicolas Sarkozy soit intervenu ou non, il était bien évident que nombre de ses clients allaient être refroidis à l’idée de faire bosser celui qui a « piqué » la femme du Président de la République.